Partons d’un postulat:
tout discours sur l’humain suppose une conception particulière de celui-ci.
Cette conception peut se révéler plus ou moins floue, elle est néanmoins toujours
présente. Ainsi, lorsque nous parlons de nos semblables et évoquons leur
existence, nous possédons, à tout le moins, une vision minimale de ceux-ci. Ce
raisonnement peut être tenu à propos de la majorité des autres concepts que
nous mobilisons au quotidien.